Des pages…

Je viens de me ren­dre compte que Mid­dle­march de George Eliot (que je lis depuis quelques mois en for­mat Kin­dle) fait en for­mat papi­er  : 1152 pages !!! Je me dis­ais bien que ça n’a­vançait pas vite… 🙁

Quand je pense à cer­tains édi­teurs qui m’ont dit que ça les rebu­tait un roman de l’é­pais­seur du mien ! O tem­po­ra, O mores ! (comme on dit à la télé… 😉 )